L’effet final recherché par la guerre informationnelle, à savoir la « suprématie de l’offre dans le domaine de l’information », nécessite théoriquement des moyens conséquents pour financer la création et l’animation de vecteurs convaincants par des profils experts “comprenant les codes culturels de la cible ». L’investissement nécessaire peut également être amené à évoluer selon le périmètre visé et selon l’environnement concurrentiel…